Ma chère épouse m’a tendu hier un de ces nombreux mini-journaux disposés en maints lieux

 

publics à Jérusalem.

 

En titre :

  

«LA NUIT DE PESSAH:l'

 

Antidote pour le post modernisme».  

( Pessah est le nom

originel de ce que les chrétiens appellent Pâques)

 

 

 

«Antidote pour le postmodernisme».

 

 

Quel titre !

Il ramène à la conscience du lecteur avec une fulgurance qui traverse les âges, depuis

 

l’antique Pessah de libération pour Israël, une vérité essentielle et que j’entends pour ma

 

part sans cesse ces jours-ci comme un shoffar prophétique pour demain et en fait pour

 

aujourd’hui déjà. Pour aujourd’hui, vous entendez ! Et que souffle-t-il, ce shoffar-là ? Il

 

souffle

 

 

 

: « D.ieu aura le dernier mot en tout, en tout. L’ultime bataille est entamée et la terre

et les cieux en sont témoins avec tous les anges et l’armée des cieux »,

 

 

 

« notre monde est

sous un jugement et, tel un lièvre abattu dont on retourne subitement la peau, il ne se

 

ressemblera plus en rien sous peu »

 

 

 

Qu’on me pardonne la sévérité de l’image mais elle

parle

 

 

.  

A interpréter en maintes façons bien sûr, vers bien des pistes de réflexion. Mais est-ce

tellement le temps de réfléchir ? C’est un temps pour savoir

 

 

 

(« car on donnera à celui qui a,

et il sera dans l’abondance, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a ».

 

 

 

Matth. 13 :

12), un temps pour

 

 

être et un temps pour agir 

.

Mais il nous dit aussi, ce shoffar, que D.ieu a d’emblée toujours eu le dernier mot éternel et

 

que PESSAH, pour nous les humains de cette terre qui va à la dérive totale, véhicule un

 

puissant message cette année plus que tout autre.

 

Le Pessah antique s’est déroulé en Egypte et en pleine nuit pour Israël. Ce sont les mêmes

 

valeurs pharaoniques qui conduisent le monde aujourd’hui : avez-vous remarqué que de

 

partout en réponse « à la crise » on nous parle de grands travaux pharaoniques dans nos

 

mégapoles européennes, aux USA et bien ailleurs ? Et pourtant, l’humanité est entrée dans

 

une nuit qui va encore s’épaissir. La nuit égyptienne ! En fait, la nuit la plus noire est encore

 

à venir.

 

Mais que nous dit D.ieu, pourtant?

 

 

 

« J’aurai le dernier mot ! »

  

« J’aurai le dernier mot » nous dit D.ieu

 

car : « Pessah » 

.

Que signifie Pessah ? En traduction anglaise, cela devient évident. Pessah se dit en

 

anglais : PASSOVER. Ce qui signifie : PASSER PAR-DESSUS. Certes le sens premier de

 

Pessah est bien que l’ange de la Mort est passé par-dessus les Hébreux sans les toucher.

 

Mais il y a plus, implicitement : Pessah c’est aussi échapper, se préparer à aller ailleurs (les

 

Hébreux mangèrent le repas de Pessah debout, prêts au départ), pendant que la nuit et la

 

mort rôdaient sur l’Egypte.

 

Il est à noter que bien des calamités se sont abattues sur l’Egypte avant cette nuit de

 

Pessah. Mais Pharaon s’est endurci. Des calamités ne s’abattent–elles pas sur le monde en

 

courbe exponentielle depuis des années ? Mais Pharaon s’est endurci et, ne vous illusionnez

 

pas, les grands « boss charismatiques » de nos démocraties sont de petits pharaons

 

manipulés par de très grands pharaons en coulisse et je vous conseille de vous en défier.

 

Tout en priant pour eux.

 

 

 

Alors où trouver, en qui, en quoi, un refuge ?

 

 

 

Pour ma part, je l’ai trouvé il y a bientôt

trente années. J’ai trouvé refuge en le seul Chef, Yeshoua, qui n ‘est pas Pharaon pour un

 

atome de Sa personne du « simple » fait qu’il l’a démontré, en donnant voici 2000 ans Sa vie

 

gratuitement en lieu et place de la mienne. Celle-ci aurait dû venir en jugement pour avoir

 

tant souillé, troublé la merveilleuse création (incluant ma personne) par ce que le

 

modernisme se refuse à nommer le péché, mais que le post-modernisme dans lequel nous

 

sommes entrés nous ramènera à l’esprit comme vérité incontournable au final. Alors, gagne

 

du temps et si tu ne l’as pas encore choisi, Lui, comme ton seul Refuge possible, va à Lui.

 

Avoue-lui que tu es pécheur et demande-Lui de te sauver ! Il le fera. Car il y a

 

Pessah/Passover.

 

 

Car Il veut te faire passer par-dessus la vallée du jugement, dans

laquelle toute l’humanité s’engage à présent de façon inéluctable.

 

 

 

Le crash mondial, notre propre épreuve financière en tant qu’oeuvre l’an dernier (épreuve

 

que je conçois comme une vraie bénédiction car elle eut pour effet d’en faire réfléchir plus

 

d’un parmi nous sur les richesses et la vanité qui en découlent), où nous fûmes si vivement

 

éprouvés dans nos finances, sont des jugements de D.ieu. Mais les jugements peuvent être

 

comme les premières calamités de l’Egypte, les sauterelles, etc., des avertissements, une

 

invitation à réfléchir, à se repentir, se réformer, à mettre de l’ordre.

 

C’est encore aujourd’hui l’appel de D.ieu à ce monde:

 

 

« Je juge votre système économique

construit sur l’iniquité, mais revenez-à moi ».

 

 

 

(Lorsque je songe que nous avons entendu

durant des années ce terrible discours sur la prospérité dans bien des églises, alors que

 

vivaient non loin de nous des millions d’affamés et de chrétiens persécutés et démunis de

 

tout …).

 

Jadis, quand je parcourais certaines églises, dont D.ieu m’a de plus en plus éloigné en

 

maints endroits, j’annonçais les jugements de D.ieu et j’enregistrais souvent des réactions

 

indignées aux cris de

 

 

« D .ieu est amour ! » et sous-entendu : « vous êtes un monstre »  

…

ce qui ouvrit la porte à un invraisemblable concert de calomnies les plus viles. Mais là n’est

 

pas la question.

 

Quand D.ieu annonce et pratique des jugements, Il cherche aussi à nous amener en fait

 

dans un « Passover ».

 

Israël sorti d’Egypte signifiait aussi une interpellation pour l’Egypte, une déclaration à

 

l’Egypte, par laquelle D.ieu dit qu’Il ne peut plus accepter son régime inique.

 

Sans entrer dans une foule d’explications qui seraient méritées ici, soyons synthétiques et

 

questionnons :

 

 

« c’est quoi, le régime de l’Egypte ? »  

C’est en version partielle et très

synthétique LE REGNE DE L’HUMAIN au pinacle, avec ses vanités multiples et inouïes et à

 

terme risibles, en lieu et place du Seul qui doive gouverner, D.ieu. Des fruits risibles ? Mais

 

oui, car que reste-t-il vraiment de l’Egypte des pharaons au-delà du pathos de mystères

 

occultes et de la carte postale ? Des pyramides et quelques babioles, certes curieuses à

 

observer en passant. Et ce ne sont plus qu’un tas de pierres silencieuses.

 

 

 

Un tas de pierres

qui ont coûté cependant si cher en vies humaines

 

 

 

. Et today ? Un tas de pierres visité par

des touristes et réceptacle de mort (par malédictions occultes) pour des archéologues trop

 

curieux.

 

J’ignore si sur le lieu de pyramides il existe une exposition, une conférence ou autre chose

 

qui explique et dénonce la construction de ces choses au prix sans doute de centaines de

 

milliers de vies d’esclaves (et il n’y eut sans doute pas que des Hébreux parmi eux).

 

Pharaon : au TPI pour acte génocidaire et crime contre l’humanité ! Il est vrai que si l’on

 

visitait les pyramides sous cet angle, le tourisme chuterait sans doute vite…et les retraitées

 

anglaises ou autres se pâmeraient un peu moins souvent sous leur coiffe exotique à Guizeh.

 

Quand je réfléchis à L’Eglise avant le jugement récent venu sur le monde, mais aussi

 

l’Eglise qui souffre un peu partout dans ses finances, je songe qu’il y a là un profond appel à

 

faire « PASS-OVER », à nous préparer à « aller ailleurs », derrière ces choses.   L’entendons nous?

 

Un sentiment de honte me vient aussi : l’Evangile de la prospérité, l’assurance religieuse et

 

vaniteuse évangélique ou messianique qui ne le cède en maints endroits en rien à d’autres,

 

dont le pape venu en « Terre Sainte » (une expression totalement inexistante dans la Bible)

 

laisse dans son sillage les effluves si particuliers et douçâtres du culte marial dans nos rues.

 

Je songe aussi à la balance fausse dans les relations, le lashon hara (calomnie, médisance)

 

comme ciment hypocrite entre « copains/coquins » d’une même coterie et tant d’autres

 

choses. Toute cette misère, cette misérable justice humaine, petite, déjantée, fausse, face

 

au puissant message du Galiléen.

 

La réponse de D.ieu : il est temps de faire « Passover », d’aller ailleurs, de retourner plus

 

près de la source : Yeshoua l’homme/D.ieu qui n’avait qu’une seule tunique…et une seule

 

Parole. Non symbole de pauvreté la tunique unique, bien au contraire (la tunique de

 

Yeshoua, de par sa structure, était une tunique de prix) mais par le fait qu’elle était d’une

 

seule pièce, elle était symbole de l’ESSENTIEL. ESSENTIEL égale ici de ce qui procède de

 

l’essence même de D.ieu qui possède tout, tout en n’ayant apparemment rien car laissant

 

ce tout disponible à tous.

 

Jésus : une seule tunique, mais aussi toute la puissance de D.ieu à Sa disposition. A cet

 

égard, le faux spirituel actuel (dans le monde comme dans la Kéhila. Faut-il décrire ?) est

 

une terrible contrefaçon, évidente, dans des milieux où l’on n’a pas compris ce message

 

portant fondamental.

 

 

 

Première étape de Pessah/Passover

 

 

 

pour nous tous à la lumière de la formidable fracture

qui apparaît dans notre civilisation occidentale finissante, entre l’époque de l’aisance surfaite

 

et qui fait déjà honte, quand à peine nous réévaluons la valeur des choses à la lumière du

 

manque actuel et en face du luxe injurieux, clinquant, du gaspillage venu des années

 

cinquante/soixante et le gouffre du « Quoi demain ? » dont le fond semble sans fin ?

 

Pour comprendre dans le contexte de jugement actuel cette passerelle de Passover

 

présentée par le Tout-Puissant Lui-même, relisons l’histoire du jeune homme riche (Matth.

 

19 :16 à 30). Il ne lui était pas demandé de devenir comme Job, misérable et nu, non, mais

 

de trouver d’abord la tunique de Yeshoua, de choisir l’essentiel…et le reste lui serait donné

 

en plus (Matth. 19 : 29 : «

 

 

Et quiconque aura quitté, à cause de mon nom, ses frères, ou ses

soeurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses

 

maisons, recevra le centuple, et héritera la vie éternelle »

 

 

 

). Ainsi firent les premiers disciples

du Seigneur car ils étaient prêts à tout laisser pour trouver l’essentiel. Ils ont su faire un

 

« passer-over », « un passer par-dessus » génial. Certes ils ont renoncé à des babioles

 

périssables qui étaient leur tout jusque-là, mais ont saisi la tunique spéciale du Maître et ont

 

reçu des trésors d’un ordre souverain et éternel. Les femmes sont souvent plus intelligentes

 

que les hommes et l’une d’entre elles avait compris que de saisir Sa tunique la guérirait

 

(Matth. 9 : 20 à 22)…

 

Quant au reste, il leur fut donné en prime, à ces disciples. Ainsi firent aussi les premiers

 

disciples juifs de Yeshoua à Jérusalem en partageant tout pour créer leur unité, celle de la

 

tunique de Jésus ; mis à part Mr et Mme Ananias/Saphira…qui en moururent.

 

Il s’agit donc bien d’un choix entre la vie et la mort comme dans la nuit de Pessah.

 

 

 

« Mais

c’était il y a longtemps Pessah »

 

 

, me direz-vous. « Mais c’est maintenant » 

, nous dit

l’Esprit… «

 

 

ARCHAV »,  

(« maintenant » en hébreu), dit le Seigneur dans un terrible raccourci

temporel et éternel. Et ce qui est vrai pour l’argent l’est pour tout le reste. Ceux qui se

 

décident un jour à répondre vraiment à l’appel, à la voix du Maître qui dit : «

 

 

Toi, suis-Moi !  

»,

vous le diront tous. La parole choquante pour tant de « chrétiens babyloniens » qui dit :

 

«

 

 

faites part de tous vos biens à ceux qui enseignent  

» (Gal. 6 : 6) tire sa substance et sa

signification du même moule…

 

Comprenons-nous le sens profond du crash en cours et DE CELUI QUI VIENT, encore plus

 

radical et de notre famine financière annoncée ? Pour les enfants de D.ieu, la pédagogie

 

divine est simple mais exigeante et il va falloir pas à pas se laisser conduire là où le

 

Seigneur nous dit d’aller depuis des siècles au travers de l’Ecriture, pour former un peu

 

partout de petites entités de maisons constituées de pierres vivantes partageant le même

 

esprit de dépouillement quant aux « babioles » et le même sentiment de propriété commune

 

des trésors d’En-Haut…avec le reste en prime. Pour le monde qui ne veut pas de la tunique

 

de Yeshoua et de celui qui la porte,…la marque de la Bête est proche, la marque qui est le

 

sceau de la mort (Apoc. 14 : 9-10).

 

On vous le disait, il s’agit d’un choix entre la vie et la mort…en ces jours. De façon ouverte et

 

claire, même si en des temps plus calfeutrés, hier, la chose paraissait moins évidente à nos

 

yeux, nos coeurs et nos bas de laine sensuels, paresseux.

 

 

 

A tout prendre, ne sommes-nous pas des privilégiés à vivre dans plus de lumière

 

radicale ?

  

UN CRASH FINAL !

  

Certains réseaux d’information officielle nous font miroiter une espérance. A

 

savoir une reprise économique . D’autres voix

 

 tiennent un discours moins optimiste.

 

Le Seigneur m’a mis à coeur de vous avertir que vient très probablement un

 

ultime crash, moins spectaculaire que celui qui se prolonge actuellement mais

 

plus vif, plus radical encore, plus court et plus incisif. Quelque chose qui

 

mettra vraiment à bas le système financier et économique mondial. Le clash

 

final qui amènera ensuite « la solution prônée par un système antichrist » ?

 

Sans doute.

  

Voici ce que j’annonçais il y a quelques jours après que D.ieu ait pressé sur mon coeur

 

durant deux semaines.

 

Un nouveau crash au travers duquel D.ieu veut resserer toujours plus les liens authentiques

 

de fraternité EFFECTIVE et non de paroles entre pierres vivantes de Sa Kéhila.

 

  

 

D.ieu à travers les manques actuels veut peut-être vider nos comptes et surtout nos sacs à

 

illusions en faveur de plus d’authenticité, de plus d’amour, dont le premier signe est dans

 

une vraie dépendance à Son égard. Peut-on donner plus grand signe d’amour à D.ieu que la

 

confiance qu’on Lui porte ? C’est la foi cela ! Plus de discours sur la dîme, etc. et encore

 

moins sur les falbalas « charismatocs » et l’argent facile et scandaleux qu’il permet

 

d’engranger, mais un accès plus profond à une plage de vérité dans ce que nous nommons

 

« l’amour ».

 

La où le communisme a échoué ; car, sans la présence de Christ en nos vies, cela est

 

impossible, les chrétiens de l’Eglise sortant de Babylone en un PASS-OVER final vont le

 

réussir. Ce n’est plus Moshé qui conduit son peuple, mais D.ieu lui-même. Prêts ?

 

Autre chose. Quel est le signe majeur qui accompagna le Pessah / Passover d’Israël jadis ?

 

La confrontation des surnaturels. Relisons Exode 7 à 14….

 

 

 

 

Christ est constituée des vivants spirituels, l’« épouse » de Satan est la mort elle-même.

 

Toujours comme en Pessah : la vie et, ou la mort ! Comme avec l’argent et tout le reste : le

 

vrai égale la vie, le faux égale la mort. Terrible balancement, la vie, la mort, le vrai , le faux.

 

Où en suis-je, où en sommes-nous ?

 

Comprenons-nous mieux en quel temps prophétique nous vivons ? Avant le retour du

 

Seigneur, enlèvement ou non, peu importe, l’Eglise redeviendra ce qu’elle fut à Jérusalem en

 

Actes. Relisons ce précieux livre dans nos bibles.

 

Dans les Actes, l’authenticité communautaire du corps est sans faille dans la disponibilité

 

TOTALE, INGENUE disponibilité à D.ieu et au prochain, la vraie puissance et la véritable

 

autorité aussi…

 

Pessah/Passover.

 

Ultime remarque : Tout ceci en Actes advint très peu de temps (quarante jours) après la nuit

 

où Jésus fêta Pessah avec ses disciples…Significatif, non ?

 

Vous l’avez compris, nous allons vers des temps ultimes et il n’est plus question de s’arrêter

 

uniquement à l’aspect matériel de ces temps dits de crise que je qualifierai, moi, de temps

 

d’accouchement, d’obligation au « passer par-dessus », par-dessus quelque chose (qui est

 

d’abord en nous et doit être réduit, liquidé). Un formidable changement de paradigme nous

 

est indiqué avec deux visions au bout du tunnel : la première, la lumière d’un monde revisité

 

par Yeshoua qui revient ou la deuxième, les ténèbres dont nous ferons l’économie en

 

matière de description et d’identité. 

 

 

Nous y

sommes…

 

 

 

l’aboutissement de quelque chose, la vraie fin du Temps des nations…et le commencement

 

d’autre chose avec une brêve interruption de ténèbres absolues, sept ans.

 

 

 

Que faire ?

  

Quelques suggestions pratiques :

 

1/ se défaire de nos falbalas spirituelo-magiques, de la religiosité vaine, de notre

 

attachement à Mammon (y compris la crainte de manquer, qui est le signe que cet

 

attachement n’est pas tout à fait mort), etc., selon ce que tout le texte ci-dessus vous aura

 

inspiré, en espérant que ce soit D.ieu qui vous parle et non l’homme.

 

 Briquez aussi votre état

 

d’esprit car vos jolis intérieurs risquent de souffrir en pratiquant l’accueil. Prêts ? Préparezvous

 

aussi à tout abandonner quand vous aurez fini d’accueillir, car vous serez obligés de

 

suivre certains de vos protégés vers une destination surprenante au Moyen-Orient.

 

3/ Laissez-vous enfin saisir par la vision de petits groupes de croyants sûrs les uns des

 

autres, rôdés à tout supporter avec amour, fiables et pas du type Anannias et Saphira.

 

  

 

 

 

 

Que le D.ieu d’Israël bénisse chacun en Yeshoua !

 

Haïm Goël